chanteuses

Elisabeth Kontomanou, chanteuse


Extrait de la soirée du 3 août 2009 au Cloître des Récollets à Bergerac
Elisabeth Kontomanou & Laurent Courthaliac au festival l’été musical en Bergerac

Je pense que vous l’aurez reconnu sur la photo de notre bandeau 😉

Elisabeth Kontomanou est une chanteuse de jazz française d’origine gréco-guineenne. Elle a travaillé avec des musiciens venus de tous horizons dont Michel Legrand, Mike Stern, John Scofield, Alain Jean-Marie, Jean-Michel Pilc, Daryl Hall, Franck Amsallem, Toots Thielemans, Richard Bona, Stéphane Belmondo, Jacques Schwarz-Bart ou encore Leon Parker.

Discographie

Embrace (1999)
Hands And Incantation avec le pianiste Jean-Michel Pilc (2000)
Midnight Sun (2004)
Waitin’ For Spring (2005)
A Week in Paris (A Tribute To Strayhorn) avec le pianiste Franck Amsallem (2005)
Back To My Groove (2007)
Brewin’ The Blues (2008)

Rosemary Phillips, chanteuse


Originaire des Barbades, Rosemary Phillips est une star du Jazz dans les Caraïbes ou elle s’est produite dans de nombreux festivals.

Elle a chanté avec le guitariste Michael Sealy qui a travaillé avec Sarah Vaughan et avec Alastair Kay, l’un des trompettistes d’Ella Fitzgerald. En 2000, elle a reçu le prix de « l’excellence dans la chanson et la poésie » décerné par le parolier de Harry Belafonte, Irving Burgie. Sa carrière internationale passe par les Clubs de Jazz de nombreux hôtels de Luxe en Russie, au Canada et à la Barbade ou elle promène son « Rosemary Phillips Show ». Elle se révèle lors du Festival de Jazz de Québec sur le thème « Les Divas du Jazz » avec Dianne Reeves comme tête d’affiche. En 2006, pour la célébration de l’indépendance de la Barbade, elle s’est produite devant plus de 6000 personnes, avec Jimmy Haynes, le Grammy Awards Winner de Steel Pulse. Sa prestation lors du Holetown Festival a attiré l’attention du BBC world qui l’a interviewée pour “Destination Music”, diffusé dans le monde entier en mai dernier.

En 2003, elle impressionne par son talent et sa personnalité Charles Loos (connu pour avoir joué, entre autres, avec Maurane, Chet Baker, Toots Thielman et Art Farmer…). Suite à une série importante de concerts dont le Music Village (Belgique) et au Frank Collymore Hall (Barbade), il est devenu le Directeur Musical de son troisième album « L’amour Comme Ça ». Le titre de ce disque provenant du nom de l’une des dernières chansons écrite par Charles Dumont, le compositeur d’Édith Piaf. Son premier enregistrement fut réalisé avec l’Orchestre Symphonique de Londres sous la direction de Saint-Preux

En juin 2006, elle a été invitée au centenaire de Joséphine Baker au Château des Milandes (France). Son interprétation des chansons de Joséphine avec l’orchestre de Jo Ganter et avec Dany Revel, l’un des pianistes de Joséphine, a été unanimement saluée par le public et la presse. Le lendemain, lors de l’inauguration du mémorial Baker le journal Sud Ouest écrivait au sujet de Rosemary Phillips « un frisson a parcouru la foule dès les premières paroles de ‘J’ai Deux Amours’, Joséphine Baker est à nouveau habitante des Milandes » . Plus qu’une simple interprète de Joséphine, elle est depuis plusieurs années, sur les traces de l’icône noire de l’anti-racisme et de la fraternité. Elle finit actuellement une thèse universitaire analysant les paroles chantées par les femmes de Jazz et du Blues dans leur contexte socio-historique.

Site officiel: http://www.rosemaryphillips.com/

Cassandra Wilson, chanteuse

http://www.youtube.com/watch?v=AWo3vxL1Nlg
Reprise de Sting: Fragile

Biographie

Naissance     4 décembre 1955
Pays d’origine     États-Unis
Site Web     http://www.cassandrawilson.com

Cassandra Wilson (née le 4 décembre 1955) est une chanteuse de jazz américaine originaire de Jackson (Mississippi).

Albums

* Destiny Express
* Point of View (1986)
* Days Aweigh (1987)
* Blue Skies (1988)
* Jumpworld (1990)
* She Who Weeps (1991)
* Live (1992)
* Dance to the Drums Again (1993)
* Blue Light ‘Til Dawn (1993)
* After the Beginning Again (1994)
* New Moon Daughter (1996)
* Songbook (1996)
* Rendezvous (avec Jacky Terrasson) (1997)
* Traveling Miles (1999)
* Belly of the Sun (2002)
* Sings Standards (2002)
* Glamoured (2003)
* Thunderbird (2006)
* Loverly (2008)
* Closer to You: The Pop Sides (2009) (Compilation de reprises)

Source : Wikipédia

Ella Fitzgerald, chanteuse

http://www.youtube.com/watch?v=PYpx6OnV6sM
Georgia on my mind – Ella

Ella Fitzgerald (née le 25 avril 1917 à Newport News — morte le 15 juin 1996 à Beverly Hills) est l’une des plus importantes chanteuses de jazz.

Connue sous le surnom de « The First Lady of Song » (littéralement « La Première Dame de la chanson », mais traduit plus volontiers par « La Grande Dame du Jazz »), elle a remporté de nombreuses récompenses, dont 13 Grammy Awards.

Avec une tessiture de voix de trois octaves, elle est remarquable pour la pureté de sa voix et sa capacité d’improvisation, particulièrement en scat.

L’une de ses improvisations les plus célèbres est celle qu’elle a faite en concert sur Mack the Knife (extrait de L’Opéra de quat’sous) lors d’un concert à Berlin en 1960, morceau au cours duquel elle a eu un trou de mémoire et qu’elle a poursuivi sans hésitation en alternant scat et paroles improvisées.

Cette version de Mack the Knife est certainement, avec Mr Paganini et How High the Moon, l’un des succès les plus connus d’Ella Fitzgerald.

Une autre de ses improvisations fameuses eut lieu au cours d’un concert à Antibes / Juan-les-Pins à l’été 1964, alors qu’elle se produisait dans la Pinède Gould à l’occasion du Festival Jazz à Juan, quand elle rendit hommage aux cigales qui l’accompagnaient (The Cricket Song).

Biographie

Ella Jane Fitzgerald naît le 25 avril 1917 à Newport News en Virginie, et a grandi près de New York. Sa mère travaillait dans une blanchisserie, et son père avait abandonné le domicile conjugal peu de temps après sa naissance. Elle rêvait alors d’être danseuse.

Elle commence à chanter à 16 ans en 1934 au théâtre Apollo de Harlem à New York dans une des premières Amateurs Nights qu’elle remporte, contribuant autant à la gloire de l’Apollo qu’à la sienne. Elle est remarquée par Bardu Ali de l’orchestre de Chick Webb, qui convainquit Webb de l’engager.

CBS était sur le point de signer un contrat avec elle, lorsque sa mère mourut, la laissant orpheline. Elle dut se contenter de participer à des concours.

Ayant « gagné » en 1935 une audition pour une semaine, elle commence à jouer avec l’orchestre de Webb au Savoy de Harlem en 1935. Elle enregistre quelques tubes avec lui, dont le célèbre If You Can’t Sing It, You’ll Have to Swing It, Love and Kisses, mais c’est sa version de la berceuse A Tisket, a Tasket qui la fit connaître.

Quand Chick Webb meurt en 1939, l’orchestre continue sous le nom de « Ella Fitzgerald and Her Famous Orchestra ».

Elle commence une carrière solo en 1941. Au début, chanteuse de swing, elle aborde aussi le bebop, elle est la reine du scat, et elle a joué du blues, de la samba, du gospel etc., et même des chants de Noël. Ses concerts sont souvent enrichis par des imitations d’autres chanteurs; elle imite en particulier à la perfection les voix et les gestes aussi bien de Rose Murphy que de Louis Armstrong.

Elle quitte Decca en 1955. La compagnie Verve a été créée au départ pour elle par son manager Norman Granz.

Ses morceaux les plus connus sont une série produite par Norman Granz sur des chansons écrites par les plus grands compositeurs américains du moment comme George Gershwin (avec l’orchestre de Nelson Riddle), Cole Porter, Duke Ellington…

Avec l’orchestre de Duke Ellington, elle fait des tournées en Europe et en Amérique du Nord. Elle ouvrait le concert avec le morceau de Duke Ellington Take the ‘A’ Train; elle fut une des rares à chanter des paroles sur ce morceau.
Ella Fitzgerald en 1940

Elle a joué en concert avec les plus importants groupes et solistes. Son vrai rôle était « instrumentiste de la voix ». Elle chante avec de nombreux partenaires instrumentaux comme Oscar Peterson, Count Basie (On the Sunny Side of the Street), Roy Eldridge Joe Pass (Speak Love), Dizzy Gillespie, et le trio de Tommy Flanagan. Elle a aussi chanté avec d’autres voix du jazz comme Nat King Cole ou de grands interprètes de variétés, quoique proche du jazz, comme Frank Sinatra.

Porgy and Bess est son enregistrement le plus connu avec la légende du jazz qu’était Louis Armstrong, mais elle a également enregistré avec lui le célèbre album Ella and Louis qui eut un tel succès que Granz leur demanda d’enregistrer un Ella and Louis Again, qui fut également un succès.

Ella apparaît aussi avec Peggy Lee comme actrice et chanteuse dans le film de Jack Webb, Pete Kelly’s Blues. Elle apparaît aussi dans les films Ride ‘Em Cowboy, St. Louis Blues, et Let No Man Write My Epitaph.

Elle s’est mariée deux fois, une première fois avec Benny Kornegay, mais le mariage a été annulé, et une seconde fois avec le célèbre bassiste Ray Brown.

Déjà devenue aveugle par son diabète, on dut l’amputer des jambes en 1993 et elle mourut à Beverly Hills en 1996.

La chanteuse France Gall a chanté une chanson en son hommage Ella, elle l’a dans les années 1980.

Style

L’agilité vocale d’Ella Fitzgerald est remarquable, comme par exemple sur ses interprétations de « You’d be all that I could desire » ou dans sa finale « To come home and to love »[2]. Sa facilité pour le scat, par exemple le « bap bi dou dam » entre le deuxième et troisième couplet de « You’d Be So Nice to Come Home To » est remarquable, et montre son approche très mélodique. Selon Mark C. Gridley[2], elle préférait improviser son scat autour de la mélodie originale plutôt que de se pencher vers l’improvisation pure, en paraphrasant, ce qui fait que plusieurs grands compositeurs de musique populaire désiraient lui faire exécuter leurs chansons tant ses lectures étaient proches de l’intention originale.

Discographie

* 1950 : Ella Sings Gershwin (Decca)
* 1954 : Songs in a Mellow Mood (Decca)
* 1955 : Songs from Pete Kelly’s Blues (Decca)
* 1956 : Sings the Cole Porter Songbook (Verve)
* 1956: Ella and Louis (Verve)
* 1956: Sings the Rodgers & Hart Songbook (Verve)
* 1957 : Ella and Louis Again (Verve)
* 1957: Sings the Duke Ellington Songbook (Verve)
* 1957: Ella at the Opera House (Verve)
* 1957: Like Someone in Love (Verve)
* 1957: Porgy and Bess (Verve)
* 1958 : Ella and Billie at Newport (Verve)
* 1958: Ella Swings Lightly (Verve)
* 1958: Sings the Irving Berlin Songbook (Verve)
* 1958: Ella in Rome: The Birthday Concert (Verve)
* 1959 : Get Happy! (Verve)
* 1959: Sings Sweet Songs for Swingers (Verve)
* 1959: Sings the George and Ira Gershwin Songbook (Verve)
* 1960 : Ella in Berlin: Mack the Knife (Verve)
* 1960: Wishes You a Merry Christmas (Verve)
* 1960: Hello, Love (Verve)
* 1960: Sings Songs from Let No Man Write My Epitaph (Verve)
* 1960: Sings the Harold Arlen Songbook (Verve)
* 1961 : Ella in Hollywood (Verve)
* 1961: Clap Hands, Here Comes Charlie! (Verve)
* 1961: Ella Returns to Berlin (Verve)
* 1962: Rhythm Is My Business (Verve)
* 1962: Ella Swings Brightly with Nelson (Verve)
* 1962: Ella Swings Gently with Nelson (Verve)
* 1963 : Ella Sings Broadway (Verve)
* 1963: Sings the Jerome Kern Songbook (Verve)
* 1963: Ella and Basie! (Verve)
* 1963: These Are the Blues (Verve)
* 1964 : Hello, Dolly! (album)|Hello, Dolly! (Verve)
* 1964: Sings the Johnny Mercer Songbook (Verve)
* 1965 : Ella at Duke’s Place (Verve)
* 1965: Ella in Hamburg (Verve)
* 1966 : Whisper Not (Verve)
* 1966: Ella and Duke at the Cote D’Azur (Verve)
* 1967 : Brighten the Corner
* 1967: Ella Fitzgerald’s Christmas
* 1968 : 30 by Ella
* 1969 : Watch What Happens
* 1969: Ella (Reprise)
* 1970 : Things Ain’t What They Used to Be (Reprise)
* 1970: Ella in Budapest, Hungary (Pablo)
* 1971 : Ella A Nice (Pablo)
* 1972 : Ella Loves Cole (Atlantic)
* 1973 : Newport Jazz Festival: Live at Carnegie Hall (Columbia Records)
* 1973: Take Love Easy (Pablo)
* 1974 : Ella Fitzgerald Jams (Pablo)
* 1974: Ella in London (Pablo)
* 1975 : Ella and Oscar (Pablo)
* 1975: Montreux ’75 (Pablo)
* 1976 : Fitzgerald and Pass… Again (Pablo)
* 1977 : Montreux ’77 (Pablo)
* 1978 : Lady Time (Pablo)
* 1978: Dream Dancing (Pablo)
* 1979 : Digital III at Montreux (Pablo)
* 1979: A Classy Pair (Pablo)
* 1979: A Perfect Match (Pablo). Ce concert public de 1979 au festival de jazz de Montreux est aussi diffusé sur le DVD Ella and Basie – the Perfect Match, ’79.
* 1981 : Ella Abraca Jobim (Pablo)
* 1982 : The Best Is Yet to Come (Pablo)
* 1983 : Speak Love (Pablo)
* 1983: Nice Work If You Can Get It (Pablo)
* 1986 : Easy Living (Pablo)
* 1989 : All That Jazz (Pablo)

Source: Wikipédia

Site Web:     http://www.ellafitzgerald.com

June Richmond, chanteuse

Mr Jackson from Jacksonville. A fun jazzy music video from 1945 starring the composer Claude Demetruis as Mr Jackson.  Interpreted by June Richmond.

June Richmond est une chanteuse née le 9 juillet 1915 à Chicago, décédée le 14 août 1962 à Gothenburg.

Biographie

June Richmond se fait remarquer au sein de l’orchestre de Jimmy Dorsey qu’elle rejoint en 1938. Elle participe ensuite aux formations des orchestres de Cab Calloway et Andy Kirk jusqu’à la fin de la deuxième guerre mondiale. Elle connaît une seconde carrière en France, signe avec le producteur Eddie Barclay et devient l’une des interprètes de Henri Salvador ou Gilbert Bécaud. Elle enregistre sous la direction de Quincy Jones, alors nommé Directeur Artistique de Barclay.

En 1954, elle est la vedette du Casino de Paris. Le violoniste danois Svend Asmussen enregistre avec elle. June Richmond part alors en scandinavie où elle s’éteint en 1962, succombant à une crise cardiaque.

Lena Horne, chanteuse

Lena Horne dans Stormy Weather (1943)

Biographie

Lena Mary Calhoune Horne (née le 30 juin 1917 à Brooklyn, New York – ) est une chanteuse américaine de jazz, de chanson populaire et une actrice de films musicaux. Elle sera surnommée « la tigresse » à cause de sa silhouette féline.

Elle fait ses débuts dans la musique en 1934 comme danseuse dans la troupe du Cotton Club, célèbre cabaret de Harlem où elle devient chanteuse trois ans plus tard, accompagnée par l’orchestre de Charlie Barnet. Lena Horne se fait ensuite remarquer sur Broadway et entame une carrière cinématographique.

Après un faux départ dans un film musical parlant de 1938, intitulé « The Duke is Tops », Horne est la première femme Afro-Américaine à signer un contrat de longue durée avec un studio d’Hollywood, la Metro-Goldwyn-Mayer. Elle y fait ses débuts en 1942 dans Panama Hattie et devient célèbre en 1943 pour son interprétation de Stormy Weather dans le film du même nom. Elle apparaît ensuite dans de nombreuses comédies musicales de la MGM, toutefois elle n’aura que peu de premiers rôles du fait de sa couleur de peau, par peur du boycott dans les États du Sud, où les cinémas refusaient de projeter des films ainsi distribués. La seule exception notable est Cabin in the Sky (1943), bien qu’une des parties de son corps y soit coupée car considérée comme trop suggestive par les censeurs. Elle manque de jouer le rôle Julia LaVerne dans la version de 1951 de Show Boat qui échoit finalement à Ava Gardner.

Horne épouse Lennie Hayton, un juif américain. Hayton est l’un des premiers chefs d’orchestre, arrangeurs de la MGM. Le mariage perdure jusqu’à la mort de Hayton en 1971, en dépit d’un environnement hostile. En effet, les directeurs exécutifs des studios désapprouvent cette union inter-raciale et le couple est mis au ban. Dans sa biographie co-écrite avec Richard Schickel, Horne raconte les pressions énormes et les injures qu’ils durent subir.

Dans les années cinquante, le couple est accusé d' »activités anti-américaines » ce qui vaudra à Lena Horne une traversée du désert émaillée de quelques disques qu’elle parvient tout de même à enregistrer pour la RCA. C’est en 1957 et grâce à la revue Jamaïca qu’elle renoue avec le succès. Elle enchaînera avec des tournages et un certain nombre de revues jusque dans les années 1970.

Elle fait un retour dans les années 1990 avec deux albums enregistrés pour le label Blue Note.

Albums

* It’s Love (1955; RCA)
* Stormy Weather (1956; RCA)
* At the Waldorf-Astoria (1957; RCA)
* Jamaica [Original Cast Recording] (1957; RCA)
* Give the Lady What She Wants (1958; RCA)
* Porgy & Bess (1959; RCA) – avec Harry Belafonte
* Songs by Burke and Van Heusen (1960; RCA)
* At the Sands (1961; RCA)
* Lena on the Blue Side (1962; RCA)
* Lovely & Alive (1963; RCA)
* Lena Goes Latin (1963; Charter)
* Sings Your Requests (1963; Charter)
* Here’s Lena Now! (1964; 20th Century)
* Feelin’ Good (1965; UA)
* Lena in Hollywood (1966; UA)
* Merry from Lena (1966; UA)
* Soul (1966; UA)
* Lena & Gabor (1970; Skye)
* Nature’s Baby (1971; Buddah)
* Lena and Michel (1975; RCA)
* Lena: A New Album (1976; RCA)
* The Lady and Her Music (1981; Qwest) – Grammy Award, meilleure chanteuse pop ou de variété
* The Men in My Life (1988; Three Cherries)
* We’ll Be Together Again (1994; Blue Note)
* An Evening with Lena Horne (1995; Blue Note) – Grammy Award, meilleure chanteuse de jazz
* Being Myself (1998; Blue Note)
* Seasons of My Life (2005; Blue Note; enregistré en 1999)


Source: Wikipédia


Lena Horne

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Lena Horne
Lena Horne dans La Pluie qui chante (1946)

Nom Lena Mary Calhoun Horne
Naissance 30 juin 1917 (92 ans)
Brooklyn, New York, États-Unis États-Unis
Profession(s) Chanteuse
Actrice
Genre(s) Jazz, Pop, Broadway
Instrument(s) Voix
Label(s) MGM, RCA Victor, United Artists, Blue Note, Black & White Records
Jazz
Terminologie du jazz
Principaux courants
ragtimeNouvelle-Orléans
swingmainstream
bebopcool jazz
hard bopjazz modal
free jazzsoul jazz
jazz-rock fusionacid jazz
jazz manouchesmooth jazz
latin jazznu jazz
Interprètes
ABCDEFGHIJKLM NOPQRSTUVWXYZ
par stylepar instrument
Méta
Le portail du Jazz
Le projet Jazz
Le portail des musiques

Lena Mary Calhoune Horne (née le 30 juin 1917 à Brooklyn, New York – ) est une chanteuse américaine de jazz, de chanson populaire et une actrice de films musicaux. Elle sera surnommée « la tigresse » à cause de sa silhouette féline.

Elle fait ses débuts dans la musique en 1934 comme danseuse dans la troupe du Cotton Club, célèbre cabaret de Harlem où elle devient chanteuse trois ans plus tard, accompagnée par l’orchestre de Charlie Barnet. Lena Horne se fait ensuite remarquer sur Broadway et entame une carrière cinématographique.

Après un faux départ dans un film musical parlant de 1938, intitulé « The Duke is Tops », Horne est la première femme Afro-Américaine à signer un contrat de longue durée avec un studio d’Hollywood, la Metro-Goldwyn-Mayer. Elle y fait ses débuts en 1942 dans Panama Hattie et devient célèbre en 1943 pour son interprétation de Stormy Weather dans le film du même nom. Elle apparaît ensuite dans de nombreuses comédies musicales de la MGM, toutefois elle n’aura que peu de premiers rôles du fait de sa couleur de peau, par peur du boycott dans les États du Sud, où les cinémas refusaient de projeter des films ainsi distribués. La seule exception notable est Cabin in the Sky (1943), bien qu’une des parties de son corps y soit coupée car considérée comme trop suggestive par les censeurs. Elle manque de jouer le rôle Julia LaVerne dans la version de 1951 de Show Boat qui échoit finalement à Ava Gardner.

Horne épouse Lennie Hayton, un juif américain. Hayton est l’un des premiers chefs d’orchestre, arrangeurs de la MGM. Le mariage perdure jusqu’à la mort de Hayton en 1971, en dépit d’un environnement hostile. En effet, les directeurs exécutifs des studios désapprouvent cette union inter-raciale et le couple est mis au ban. Dans sa biographie co-écrite avec Richard Schickel, Horne raconte les pressions énormes et les injures qu’ils durent subir.

Dans les années cinquante, le couple est accusé d' »activités anti-américaines » ce qui vaudra à Lena Horne une traversée du désert émaillée de quelques disques qu’elle parvient tout de même à enregistrer pour la RCA. C’est en 1957 et grâce à la revue Jamaïca qu’elle renoue avec le succès. Elle enchaînera avec des tournages et un certain nombre de revues jusque dans les années 1970.

Elle fait un retour dans les années 1990 avec deux albums enregistrés pour le label Blue Note.

Films [modifier]

Lena Horne par Carl Van Vechten

Albums [modifier]

  • It’s Love (1955; RCA)
  • Stormy Weather (1956; RCA)
  • At the Waldorf-Astoria (1957; RCA)
  • Jamaica [Original Cast Recording] (1957; RCA)
  • Give the Lady What She Wants (1958; RCA)
  • Porgy & Bess (1959; RCA) – avec Harry Belafonte
  • Songs by Burke and Van Heusen (1960; RCA)
  • At the Sands (1961; RCA)
  • Lena on the Blue Side (1962; RCA)
  • Lovely & Alive (1963; RCA)
  • Lena Goes Latin (1963; Charter)
  • Sings Your Requests (1963; Charter)
  • Here’s Lena Now! (1964; 20th Century)
  • Feelin’ Good (1965; UA)
  • Lena in Hollywood (1966; UA)
  • Merry from Lena (1966; UA)
  • Soul (1966; UA)
  • Lena & Gabor (1970; Skye)
  • Nature’s Baby (1971; Buddah)
  • Lena and Michel (1975; RCA)
  • Lena: A New Album (1976; RCA)
  • The Lady and Her Music (1981; Qwest) – Grammy Award, meilleure chanteuse pop ou de variété
  • The Men in My Life (1988; Three Cherries)
  • We’ll Be Together Again (1994; Blue Note)
  • An Evening with Lena Horne (1995; Blue Note) – Grammy Award, meilleure chanteuse de jazz
  • Being Myself (1998; Blue Note)
  • Seasons of My Life (2005; Blue Note; enregistré en 1999)

Helen Merrill, chanteuse


Helen Merrill sings « You’d Be So Nice To Come Home To » live, backed by husband Torrie Zito on piano, Ned Mahn on bass, and Terry Clarke on drums.

Helen Merrill
(née à New York, le 21 juillet 1930) est une chanteuse de jazz américaine, qui s’est produite en concerts et a enregistré avec les plus grands noms du jazz américain et international.

Discographie

1. Lilac Wine (2004)
2. Jelena Ana Milcetic AKA Helen Merrill (2000)
3. Carousel (1997)
4. You And The Night And The Music (1997)
5. Brownie (1994), hommage à Clifford Brown
6. Blossom of Stars (1992)
7. Helen Merrill in Italy (1991)
8. Christmas Songbook (1991)
9. Clear Out of This World (1991)
10. Just Friends featuring Stan Getz (1989)
11. Duets – with Ron Carter (1987)
12. Collaboration with Gil Evans (1987)
13. Musicmakers (1986)
14. HM sings Irving Berlin (1986)
15. Jerome Kern Album(1986)
16. Cole Porter Album (1986)
17. No Tears No Goodbyes (1985)
18. Helen Merrill sings Rodgers and Hammerstein (1982)
19. Affinity (1982)
20. Imagination (1982)
21. Casa Forte (1980)
22. Chasin’ The Bird (1979)
23. Love in Song (1977)
24. Helen Merrill John Lewis (1976)
25. Sposin’ with Gary Peacock trio (1971)
26. Helen Merrill New Best One (1967 – 1970)
27. Helen Sings Teddy Swings (1970)
28. Plaisir D’amour (1969)
29. Screen Favorites (1968)
30. A Shade of Difference (1968)
31. Helen Merrill sings Bossa Nova (1967)
32. Autumn Love (1967)
33. Helen Merrill sings Folk (1966)
34. The Feeling is Mutual (1965)
35. The Artistry of Helen Merrill (1965), avec Charlie Byrd
36. Helen Merrill in Tokyo (Victor Japan 1963)
37. Parole e Musica (1960)
38. American Country Songs (Atco 1959)
39. You’ve Got A Date With The Blues (MGM 1959)
40. The Complete Helen Merrill on Mercury (1954 – 1958)
41. The Nearness Of You (Emarcy 1958)
42. Merrill at Midnight (Emarcy 1957)
43. Dream of You (Emarcy 1956)
44. Helen Merrill with Strings (Emarcy 1955)
45. Helen Merrill : Helen Merrill ( Emarcy 1954)

Site Web:    http://www. helenmerrill.com

Source: Wikipédia

Alberta Hunter, chanteuse

http://www.youtube.com/watch?v=GaqL81L7Heo

Alberta Hunter « My Castle’s Rockin' »

« -I know a woman that can sing
(…)
-How old is she ?
-82
-Man you must be crazy »
🙂

Alberta Hunter, était une chanteuse de blues et de jazz, afro-américaine, née à Memphis, Tennessee, le 1er avril 1895, décédée, à Roosevelt, New York, le 17 octobre 1984.

Biographie

Discographie

ALBUMS :

* 1961 Chicago : The Living Legends « Live » (Original Blues Classics)
* 1961 Songs We Taught Your Mother (Bluesville / Original Blues Classics)
* 1962 Alberta Hunter with Lovie Austin and Her Blue Se (Riverside)
* 1977 Remember My Name (Columbia)
* 1978 Amtrak Blues (Columbia)
* 1981 The Glory of Alberta Hunter (Columbia)
* 1982 Look for the Silver Lining (Columbia)

Source Wikipedia

Julie London , chanteuse

http://www.youtube.com/watch?v=1U7APF1HuQE
Accompanied by only Don Bagley on bass, Julie London sings Lonesome Road.

Julie London (née le 26 septembre 1926 à Santa Rosa et morte le 18 octobre 2000 à Encino en Californie) était une chanteuse et actrice américaine.

Célèbre pour sa voix sensuelle, première interprète de la chanson Cry Me a River, elle est une chanteuse au sommet de sa célébrité pendant les années 1950 tandis que sa carrière d’actrice s’étend sur plus de 35 ans, jusqu’à son rôle de l’infirmière Dixie McCall, dans la série télévisée Emergency! (1972–1979).

Biographie

Née Gayle Peck, elle est la fille de Jack et Josephine Peck, un couple de danseurs et chanteurs de vaudeville. Lorsqu’elle a 14 ans, sa famille déménage à Los Angeles. Peu après, elle commence à apparaître dans des films. Elle sort diplômée de la Hollywood Professional School en 1945.

Albums

* Julie Is Her Name (1955, U.S. #2)
* Lonely Girl (1956, U.S. #16)
* Calendar Girl (1956, U.S. #18)
* About the Blues (1957, U.S. #15)
* Make Love to Me (1957)
* Julie (1958)
* Julie Is Her Name, Volume II (1958)
* London by Night (1958)
* Swing Me an Old Song (1959)
* Your Number Please (1959)
* Julie…At Home (1960)
* Around Midnight (1960)
* Send for Me (1961)
* Whatever Julie Wants (1961)
* The Best of Julie London (1962)
* Sophisticated Lady (1962)
* Love Letters (1962)
* Love on the Rocks (1962)
* Latin in a Satin Mood (1963)
* Julie’s Golden Greats (1963)
* The End of the World (1963, U.S. #127)
* The Wonderful World of Julie London (1963, U.S. #136)
* Julie London (1964)
* In Person at the Americana (1964)
* Our Fair Lady (1965)
* Feeling Good (1965)
* By Myself (1965, produced exclusively for the Columbia Record Club)
* All Through the Night: Julie London Sings the Choicest of Cole Porter (1965)
* For the Night People (1966)
* Nice Girls Don’t Stay for Breakfast (1967)
* With Body & Soul (1967)
* Easy Does It (1968)
* Yummy, Yummy, Yummy (1969)
* The Very Best Of Julie London (1975)

Source: Wikipédia

Sarah Vaughan, chanteuse

http://www.youtube.com/watch?v=8m1X6y9Gzhs
The Sassy One, Sarah Vaughn in a an excerpt from the 1955 film, Rhythm and Blues Revenue

Sarah Vaughan était une chanteuse de jazz américaine née le 27 mars 1924 à Newark dans le New Jersey et décédée à Hidden Hills en Californie, le 3 avril 1990.


Biographie

Les débuts

Née dans une famille aussi religieuse que musicienne, elle apprend le chant et l’harmonium dans un contexte religieux, au sein de l’Église baptiste.

Elle garde la double spécialité (chant et piano), jouant du piano dans l’orchestre de son école et chantant dans les chœurs à l’église ; elle se consacre au chant lorsqu’elle gagne le concours d’amateurs du Théâtre Apollo à Harlem, dix ans après Ella Fitzgerald qui vient la féliciter.

Elle rejoint l’orchestre d’Earl Hines puis l’orchestre moderniste, qui introduit le Be Bop dans la musique de Big Band, de Billy Eckstine. Elle est notamment influencée par Charlie Parker et Dizzy Gillespie, alors membres de l’orchestre.

Après-guerre

En décembre 1944, elle enregistre sous son nom une splendide version de « A Night in Tunisia » sous le nom d’ »Interlude » avec Charlie Parker et Dizzy Gillespie en sidemen de luxe.

En 1949, elle signe chez le label Columbia et y enregistre abondamment. Dans les années cinquante, elle alterne des faces plutôt commerciales avec grand orchestre pour Mercury et des faces accompagnée par de petites formations souvent de grande qualité comme celle de l’album historique With Clifford Brown (1954).

En 1958, elle enregistre un album avec l’orchestre de Count Basie, No Count Sarah.

Dans les années 1960, sa voix perd légèrement en virtuosité mais gagne en profondeur comme le prouve sa formidable performance au Tivoli de Copenhague en 1963 ou celle au Monterey Jazz Festival en 1971 récemment publiée.

Elle enregistre au cours de ces années avec des orchestres symphoniques.

En 1982 elle enregistre pour Pablo Records un album très personnel. Afin de maitriser toutes les étapes dans la création de cet album elle endosse le rôle de Producteur. « Sassy » de son petit nom choisit les musiciens, les chansons, les arrangements mais également la pochette et le titre de son album : « Crazy and Mixed Up ». Son rêve, comme elle dit, c’est « de faire ce qu’elle veut sans interférence de la part de la maison de disque ».

À partir de 1982, les enregistrements et concerts se font plus rares.

Style

Sarah Vaughan possède une projection vocale précise et facile, peu importe le registre ou le tempo, et une tessiture de trois octaves et demi[1]. Sa technique vocale lui permet des sauts de registre d’une rare amplitude aux modulations et dosages de volume maitrisés. Avec les années, le registre de Sarah Vaughan s’est approfondi vers le ténor et presque même vers le baryton. Sarah Vaughan est aussi une pianiste avec une connaissance fonctionnelle de l’harmonie, et était considérée comme la meilleure chanteuse de bebop[1]. Avec son grand contrôle de voix, elle pouvait glisser sur plusieurs octaves comme lorsqu’elle chante « When you open it to speak » ou dans sa finale « Each day is Valentine’s Day ».

Sa culture musicale, nourrie par le bebop, donne à ses improvisations une grande invention harmonique et rythmique. Son style est aussi marqué par une utilisation très poussée du vibrato. Sarah Vaughan joue avec la synchronisation des mots comme si les paroles pouvaient s’étirer pour se produire presque n’importe où par rapport au passage de la pulsation, comme lorsqu’elle chante les mots « funny valentine » ou « heart » dans les deux premiers vers de la chanson « My Funny Valentine ». Sarah Vaughan jongle avec la prononciation des mots, leur timbre et leur tonalité, ce qui donne, selon Gridley[1], un effet excessivement sensuel. Bref, elle préfère remanier le rythme et embellir les notes dans un but qui dépasse le simple ornement, et ce, sans nécessairement se diriger vers la liberté d’expression du scat.

Magnifique interprète de ballades, elle est aussi une chanteuse de scat accomplie. On ne lui connaît guère de rivale dans ce domaine, hormis Ella Fitzgerald. Toutes ces qualités se retrouvent dans ses performances scéniques d’autant qu’elle sait les mettre en scène avec humour, comme dans sa version de « Tenderly », enregistrée au Tivoli en 1963. Elle est considérée, avec Ella Fitzgerald et Billie Holiday, comme l’une des trois plus grandes chanteuses de jazz.

Culture populaire

* Sarah Vaughan est mentionnée (« She’s reborn like Sarah Vaughan ») par la chanteuse britannique Amy Winehouse dans sa chanson « October Song », parue en 2003.

Discographie partielle et sélective

* 1954 : Swingin’ Easy, Emarcy
* 1954 : Sarah Vaughan with Clifford Brown, Emarcy
* 1955 : In the Land of Hi-Fi, EmArcy MG-36058
* 1957 : At Mister Kelly’s, Mercury
* 1959 : After Hours At The London House [live] Mercury SR-60020 / 2005 CD Mercury [Verve] SR-60020
* 1958 : No Count Sarah, EmArcy
* 1963 : Sassy Swings the Tivoli [live], Emarcy
* 1965 : Sarah Vaughan sings The Mancini, Mercury SR 61009 / 1998 CD Mercury [Verve] 558 401-2
* 1971 : Live at the 1971 Monterey Jazz Festival, MJF Records, 2007

Source: Wikipédia