guitare

Lucky Thompson, saxophoniste

http://www.youtube.com/watch?v=k_U_QwOAl20
Anthropology Thompson Lucky 1959
Lucky Thompson the famous American early bebop tenor saxophonist is on a visit to the Blue Note Club in Paris. In December 1959 this clip was recorded with the Bud Powell trio with Kenny Clarke on drums and Pierre Michelot on bass. Also an interesting guitar solo from Jimmy Gourley.

Lucky Thompson

Eli Thompson, connu sous le nom de « Lucky » Thompson, est un saxophoniste de jazz américain né le 16 juin 1924 à Détroit, Michigan, États-Unis et décédé le 30 juillet 2005 de la maladie d’Alzheimer.

Biographie

Lucky Thompson débute au sein d’un groupe vocal avant d’intégrer, en tant que saxophoniste ténor, les Bama State Collegians puis le grand orchestre de Lionel Hampton en 1943. À New York, il se produit dans les clubs de la 42nd Street aux côtés de Billy Eckstine, Erroll Garner et Slam Stewart avant de rejoindre les rangs du big-band de Count Basie (1944-1945). Il quitte l’orchestre pour se fixer en Californie, où il dirige diverses formations, généralement en accompagnement de vocalistes, et enregistre et se produit au sein du groupe de Dizzy Gillespie lors de la première visite du trompettiste sur la Côte Ouest.

Jusqu’en 1956, il se partage entre la direction de ses propres formations et des séjours, généralement assez courts, auprès de différents leaders : Boyd Raeburn, Count Basie à nouveau (1951), Thelonious Monk, le temps d’un enregistrement… De 1956 à 1962, il séjourne à Paris et enregistre tant avec les musiciens locaux (Martial Solal, Guy Lafitte) qu’avec les américains de passage (Bud Powell). À son retour aux États-Unis en 1962, il adopte le saxophone soprano. Il enregistrera de nombreux albums jusqu’en 1972, année où il semble abandonner la pratique musicale pour enseigner à la Dartmouth University avant de disparaître totalement.

En 1982, le magazine américain Cadence retrouve sa trace, en Caroline du Sud. Lucky Thompson disparaît ensuite à nouveau et, selon Johnny Griffin et Kenny Washington, est sans domicile fixe à Seattle, Washington, au début des années 1990. Au cours des années qui suivront, son décès est annoncé à plusieurs reprises.

Style

Lucky Thompson est un instrumentiste singulier et inclassable. S’il appartient clairement à l’école de Don Byas, son jeu présente un modernisme intermédiaire qui tranche tant avec le swing de l’orchestre de Count Basie qu’avec le bop de Dizzy Gillespie et désoriente les critiques de l’époque qui, ne parvenant pas à le classer dans une catégorie définie, ont tendance à le sous-estimer.

Au soprano, il a su se détacher tant de l’influence de Sidney Bechet que de celle de John Coltrane, et son jeu sur cet instrument n’est pas sans évoquer celui de Lester Young à la clarinette. Au tout début des années 1980, son vieil ami Milt Jackson lui propose de produire un album dont il serait le producteur, lui laissant la maîtrise totale de l’enregistrement, depuis le choix des musiciens jusqu’à la post-production, mais Lucky Thompson refuse, usé et dégoûté par le music-business.

Source: Wikipédia

Jimmy Raney

http://www.youtube.com/watch?v=u91YxJA50ms
en 1992 à Louisville

James Elbert « Jimmy » Raney était un guitariste et compositeur de jazz américain (Louisville, Kentucky, 1927 – 10 mai 1995). Son jeu de guitare bebop au phrasé legato caractéristique (longtemps qualifié de « cool ») et harmoniquement avancé (d’une esthétique proche de celle de l’école Tristano; grande utilisation du mode lydien) tel qu’on peut déjà l’entendre dans ses enregistrements dans les années 50, influença durablement des guitaristes tels que Jimmy Gourley, Ronnie Singer, Laro Sollero, René Thomas ou encore Sacha Distel.

Il a longtemps fait partie du quintet de Stan Getz.

Il a joué toute la première partie de sa carrière sur une Gibson ES-150 (modèle Charlie Christian), avant de l’abandonner au début des années 70 au profit de diverses guitares, notamment des Gibson ES-175.

Il est le père de l’excellent guitariste Doug Raney, qui joua entre autres dans un merveilleux trio avec Chet Baker avec NHØP à la contrebasse, et toujours actif.

Source: Wikipedia

1992 Louisville

Yaron Herman, pianiste

http://www.youtube.com/watch?v=gkLmlDzTDaE

Yaron Herman Trio playing « Message in a bottle » (Sting) at the New Morning (Paris) on March 26, 2008. Matt Brewer (bass) & Gerald Cleaver (drums). Special guest : Dominic Miller (guitar).

Yaron Herman est un pianiste de jazz israélien né le 12 juillet 1981 à Tel-Aviv et résidant aujourd’hui à Paris, en France.

Biographie

Yaron commence à étudier le piano à l’âge de 16 ans avec le musicien de jazz Opher Brayer, qui utilise une méthodologie basée sur la philosophie, les mathématiques et la psychologie. Deux ans plus tard, Yaron reçoit le prestigieux prix de « talent Junior » de la Rimon School of Jazz and Contemporary Music. Il commence à se produire en Israël au Tel-Aviv Museum, au Tel-Aviv Cinematek, au Camelot, au Givataim Theatre, au Beit Lesin Theatre ainsi qu’à l’Einav Center. A l’âge de 19 ans, il déménage à Boston, aux États-Unis, bien décidé à suivre les cours de la très renommée Berklee College of Music mais délaisse rapidement cette option pour commencer une carrière en France, à Paris. A 21 ans, il enregistre son premier album, Takes 2 to Know 1, avec Sylvain Ghio, produit pour le label Sketch.

Influences

Le style musical de Yaron Herman reflète l’influence de pianistes et autres musiciens de jazz tels que Keith Jarrett, Paul Bley, Lennie Tristano ou Brad Mehldau, d’artistes de pop moderne comme Björk ou Sting ainsi que de compositeurs de musique classique comme Alexander Scriabin ou Maurice Ravel. On retrouve d’ailleurs sur son album de 2007, A Time for Everything, des reprises de titres pop de Britney Spears (« Toxic »), Leonard Cohen (« Hallelujah ») ou encore The Police (« Message In A Bottle »).

Discographie

* Yaron Herman & Sylvain Ghio : Takes 2 to Know 1 (2003, Sketch)
* Yaron Herman : Variations (2006, Laborie Records)
* Newtopia Project : Suite Elegiaque (2006, Zig-Zag Territoires)
* Yaron Herman Trio : A Time for Everything (2007, Laborie Records)
* Yaron Herman Trio : Muse (2009, Laborie Records)

Source Wikipedia

Site officiel: http://www.yaron-herman.com/

Bill Coleman, trompettiste et chanteur

http://www.youtube.com/watch?v=gUBddTQmWW8

Lover Girl Bill Coleman 1972
« There are not many films of him. He lived for a large part of his life in France and missed some of the international glory the others had.
In a French TV program called Jazz Harmonie Bill plays Fluegelhorn. Marc Hemmeler piano, Jimmy Gourley guitar, Pierre Sim bass and Michel Silva drums »

Bill Coleman est né le 4 août 1904 à Paris (Kentucky, États-Unis) et décédé le 24 août 1981 à Toulouse (Haute-Garonne, France).

Ce musicien noir américain de jazz Swing s’est illustré à la trompette, au bugle, au chant et à la composition.

Biographie

Avant les années 1930, il est l’un des acteurs de la grande période du Savoy de Harlem. Ainsi il joue avec Benny Carter et Coleman Hawkins.Charlie Johnson (1930) – Lucky Millinder (1933).

En 1933 à Paris, il joue dans différentes formations avant de rencontrer, en 1935, Django Reinhardt et Stéphane Grappelli avec le Quintette du Hot Club de France. Dès juillet 1937, il enregistrera plusieurs disques en leur compagnie, et contribue à l’essor du style swing.

Joue avec Teddy Hill (1934) – Fats Waller – Freddy Taylor – Willie Lewis. En 1940 il rejoint Benny Carter, Teddy Wilson, Andy Kirk, Noble Sissle, Mary Lou Williams et Sy Oliver…

Très élégant, sur scène comme dans ses phrasés ; sa gentillesse et sa modestie, à la hauteur de son talent, lui ont valu son surnom de « Gentleman de la trompette ».

Bill Coleman, ami du saxophoniste Guy Lafitte, avait fait du Gers sa terre d’élection, où il s’établit définitivement à Cadeillan en 1947.

Il participa à la création du festival Jazz in Marciac en 1977 avant d’en devenir Président d’honneur.

Source: Wikipédia

Cassandra Wilson, chanteuse

http://www.youtube.com/watch?v=AWo3vxL1Nlg
Reprise de Sting: Fragile

Biographie

Naissance     4 décembre 1955
Pays d’origine     États-Unis
Site Web     http://www.cassandrawilson.com

Cassandra Wilson (née le 4 décembre 1955) est une chanteuse de jazz américaine originaire de Jackson (Mississippi).

Albums

* Destiny Express
* Point of View (1986)
* Days Aweigh (1987)
* Blue Skies (1988)
* Jumpworld (1990)
* She Who Weeps (1991)
* Live (1992)
* Dance to the Drums Again (1993)
* Blue Light ‘Til Dawn (1993)
* After the Beginning Again (1994)
* New Moon Daughter (1996)
* Songbook (1996)
* Rendezvous (avec Jacky Terrasson) (1997)
* Traveling Miles (1999)
* Belly of the Sun (2002)
* Sings Standards (2002)
* Glamoured (2003)
* Thunderbird (2006)
* Loverly (2008)
* Closer to You: The Pop Sides (2009) (Compilation de reprises)

Source : Wikipédia

Ruby Braff , trompettiste

http://www.youtube.com/watch?v=iMbta-2Dweo
I got it Bad – Newport All Stars 1969

Ruben « Ruby » Braff (né en 1927 à Boston et mort le 10 février 2003) était un trompettiste de jazz américain.

He was renowned for working in an idiom ultimately derived from the playing of Louis Armstrong and Bix Beiderbecke.

He began playing in local clubs in the 1940s. In 1949, he was hired to play with the Edmond Hall Orchestra at the Savoy Cafe of Boston. He relocated to New York in 1953 where he was much in demand for band dates and recordings.

He died February 10, 2003, in Chatham, Massachusetts.

Discographie

* You Brought a New Kind of Love (Arbors Records)
* Variety Is the Spice of Braff (Arbors Records)
* I Hear Music (Arbors Records)
* Watch What Happens (Arbors Records)
* Music for the Still of the Night (Arbors Records)
* The Cape Godfather (Arbors Records)
* Ruby Braff and Strings: In the Wee Small Hours in London and New York (Arbors Records)
* Born to Play (Arbors Records)
* You Can Depend on Me (Arbors Records)
* Being with You (Arbors Records)
* Live at the Regattabar (Arbors Records)

Source: Wikipédia

Christian Escoudé , guitariste


Christian Escoudé rend un hommage complet aux différentes facettes de la musique de Django. En changeant d’instrumentation, comme l’avait fait le génial gitan, Christian et ses comparses retrouvent les couleurs d’antan, leur donnent une nouvelle perspective approchant des répertoires plus rares et tout autant fascinants. La présence de ces super-solistes fera de cette carte blanche à Christian Escoudé un moment unique de communication et de bonheur !

Christian Escoudé

Christian Escoudé (né le 23 septembre 1947 à Angoulême) est un guitariste et compositeur de jazz français.

Biographie

Né d’un père gitan et guitariste, une mère charentaise, Christian Escoudé naît en 1947. Son père fait les bals musette de la région. Il voue une passion sans bornes à Django Reinhardt qu’il transmet à son fils qu’il initie à la guitare à l’âge de 10 ans. À 15 ans, Christian embrasse la carrière de musicien.

Christian Escoudé fait partie de cette petite famille de guitaristes de jazz issus du milieu manouche : à ce titre, il s’est forgé un style de guitare dans les canons du jazz bop, largement teinté d’influence tsigane. Il fait preuve d’un grand sens mélodique, où pointent des inflexions « gitanes », comme le vibrato et le portamento, de beaucoup de chaleur dans le phrasé et d’une belle générosité de son. Il se signale par sa façon toute personnelle d’utiliser les arpèges sur les systèmes demi-ton/ton.

Au Jazz In, où il se produit en 1972 « after Hours », il rencontre Eddy Louiss, Bernard Lubat et Aldo Romano.

Plus tard, il rejoint Didier Levallet (Swing String System), Michel Portal Unit.

En 1976, l’Académie du jazz lui décerne son prix Django Reinhardt, tandis qu’un nouveau quartette (avec Michel Graillier, Aldo Romano, et Alby Cullaz ; puis Jean-François Jenny-Clark prend tournure. On l’entend (en free-lance) aussi bien chez Michel Portal qu’avec Slide Hampton, Martial Solal ou Jean-Claude Fohrenbach.

En 1978, le Festival de Nice est pour lui l’occasion d’enregistrer avec le quartet de John Lewis et de jouer avec Stan Getz, Bill Evans, Philly Joe Jones, Freddie Hubbard, Lee Konitz, Shelly Manne, Elvin Jones…

À partir de 1978, il participe presque chaque année au Festival de Samois, organisé en hommage à Django Reinhardt. En 1979, il est au Festival de Dakar, complétant le trio René Urtreger-Pierre Michelot-Daniel Humair.

Au cours de l’été 1980 John McLaughlin le convie à une tournée en duo qui le conduit aux États-Unis, Brésil et Japon.

En 1981, il entre dans le grand orchestre de Martial Solal. L’année suivante, il se produit dans un quartette aux côtés de Shelly Manne. De retour en France, il en crée un avec Olivier Hutman (claviers), Nicolas Fitzman (b, bg) et Jean-My Truong (percussion) – ces deux derniers seront remplacés par Jean Marc Jafet et Tony Rabeson.

En 1983, débute un duo avec Didier Lockwood qui débouche en 1984 sur un trio avec Philip Catherine.

En 1985, il joue avec Capon et James Carter puis forme le « Trio Gitan » avec Boulou Ferré et Babik Reinhardt.

En 1987, il joue en duo avec Michel Graillier, John Thomas, avec le « Trio Gitan », puis encore avec Capon-Carter.

Début 1988 naît un nouveau quartet avec Jean-Michel Pilc, François Moutin et Louis Moutin. L’année suivante, il forme un octet à quatre guitares (Paul Challain Ferret, Jimmy Gourley, Frédéric Sylvestre), accordéon (Marcel Azzola), violoncelle (Vincent Courtois), basse (Alby Cullaz) et batterie (Billy Hart).

New York, 1990 : il joue au Village Vanguard avec Pierre Michelot, Hank Jones et le batteur Kenny Washington.

En 1991, entouré d’un orchestre à cordes, il enregistre onze compositions de Django Reinhardt. En 1992, son « Gipsy Trio » (Challain Ferret, Sylvestre) s’augmente de Babik Reinhardt ou Biréli Lagrène, et l’année suivante, à Los Angeles, il enregistre entouré de Lou Levy, Bob Magnusson et Billy Higgins.

Sous le label EmArcy, les bureaux parisiens de Verve lui proposent, de 1989 à 1994, 7 albums : Gipsy Waltz / 1989 / Marcel Azzola / Live at the Village Vanguard / Plays Django Reinhardt / In L.A.-Standards Vol.1 / Cookin’in Hell’s Kitchen

En 1996 sort At Duc des Lombards (avec Emmanuel Bex à l’orgue Hammond, eten 1998 : A suite for Gypsies.

En 1998, il crée et enregistre « A Suite for Gypsies », œuvre de Jazz rock, fusion dédiée à la mémoire des enfants gitans morts dans les camps de concentration.

En 2003, l’année du cinquantième anniversaire de la mort de Django Reinhardt, il crée un big band (17 musiciens) avec lequel il explore l’héritage musical de Django en y apportant son style et ses propres idées harmoniques et rythmiques.

En 2004 il constitue « Le nouveau trio gitan », réunion de 3 guitaristes ayant l’ouverture d’esprit nécessaire à une expression musicale d’actualité, sans renier les racines dont ils sont issus (actuellement avec Martin Taylor et David Reinhardt).

En mars 2005 est sorti, chez Nocturne, « Ma ya ». Ya avec son nouveau sextet (Progressive Sextet) composé de Marcel Azzola, Jean-Baptiste Laya, Sylvain Guillaume, Jean-Marc Jafet et Yoann Serra.

Christian Escoudé a composé ou participé à près de 40 albums.

Site officiel: http://www.christianescoude.com/

Joshua Redman, saxophoniste


Joshua Redman live in Montreux Jazz Festival 1997
Joshua Redman (Tenor Saxophone), Peter Bernstein (Eelectric Guitar), Brian Blade (Drums),
Christopher Thomas (Acoustic Bass), Peter Martin (Acoustic Piano)

Joshua Redman, est un Saxophoniste américain né le 1er février 1969 à Berkeley, Californie. Fils du saxophoniste Dewey Redman.

Il sort diplômé de l’université d’Harvard en 1991, et remporte la Thelonious Monk International Jazz Saxophone Competition la même année et commence à se consacrer à sa carrière musicale.

Sur l’album Momentum enregistré sur le label Nonesuch Records, Joshua Redman est entouré de Sam Yahel, Brian Blade, Jeff Ballard, le noyau de l’Elastic Band, mais aussi d’invités tels que Me’shell Ndegeocello, Kurt Rosenwinkel, Nicholas Payton. Comme à son habitude, l’album est composé majoritairement d’originaux (8 titres) mais aussi des reprises, qui sont souvent des clins d’œil à ses goûts musicaux hors jazz, (Led Zeppelin, Stevie Wonder, James Brown…). Goûts dont Joshua Redman reconnaît clairement l’influence sur sa musique et en particulier l’influence du funk.

Ses albums Momentum (joué avec son electric band en 2005) ainsi que back east (joué avec son quartet) ont été nominés au Grammy award respectivement dans la catégorie « best contemporary jazz album » en 2005 et dans la catégorie « best jazz instrumental album individual or group » en 2007.

Discographie

* Joshua Redman (1993)
* Wish (1993)
* MoodSwing (1994)
* Joshua Redman Captured live (1994)
* Spirit of the Moment Live at Village Vanguard (1995)
* Freedom in the Groove (1996)
* Timeless Tales (for Changing Times) (1998)
* Beyond (2000)
* Passage of Time (2001)
* Elastic (2002)
* Momentum (2005)
* Back East (2007)
* Compass (2009)

Source: Wikipédia

Stéphane Grappelli, violoniste


Blue Moon – Stephane Grappelli
Stephane Grappelli and Martin Taylor in Australia in 1990. Jon Burr on bass.

Stéphane Grappelli (26 janvier 1908 – 1er décembre 1997) était un violoniste et jazzman français. Il fit partie des plus grands violonistes de jazz du XXe siècle et créa le « Quintette du Hot Club de France » avec Django Reinhardt.

Biographie

Stéphane Grappelli est né à Paris le 26 janvier 1908, de père italien, Ernesto, marquis né à Alatri, et de mère française, Anna-Emilie Hanocque, née à Saint-Omer. Il perd sa mère à l’âge de quatre ans. C’est vers l’âge de douze ans qu’il commence à jouer du violon dans les rues et les cours d’immeubles, pour rapporter un peu d’argent à la maison. Il débute sa carrière professionnelle en 1923 comme violoniste et pianiste dans les cinémas, pour accompagner les films muets.

En 1931 et 1932, Stéphane Grappelli joue dans l’orchestre du club la « Croix du Sud », dirigé par André Ekyan, au côté de Django Reinhardt et Alix Combelle.

Il crée, en 1934, le Quintette du Hot Club de France avec entre autre Django Reinhardt. Quand la guerre éclate, il se trouve en tournée en Angleterre. Django rentre aussitôt en France mais Stéphane, malade, reste bloqué à Londres. Il sera remplacé à Paris par le clarinettiste et saxophoniste de jazz Hubert Rostaing. Stéphane grappelli y passera la guerre, y jouant notamment avec le pianiste George Shearing. Il y développera sa carrière de manière importante, peaufinant et affinant sa technique, son style, sa musicalité, et y composera beaucoup. Quand il retrouve Django, en 1946, ils jouent et enregistrent spontanément La Marseillaise rebaptisée Echoes of France[1] pour cause d’enregistrement en Angleterre. Cet enregistrement fera scandale, et la matrice sera d’ailleurs détruite[2]. Après son partenariat avec Reinhardt – qui donna naissance à ce qu’on appelle maintenant le swing Manouche, il enregistre plus d’une centaine de disques avec les grands musiciens de la planète, notamment avec Oscar Peterson, Jean-Luc Ponty, Philip Catherine, Michel Petrucciani, le chanteur Paul Frederic Simon, David Grisman ou encore Yehudi Menuhin ; sans oublier ses collaborations avec des grands noms de la musique du monde, tel que le violoniste indien Lakshminarayana Subramaniam. Il a également joué du violon sur le titre Wish You Were Here des Pink Floyd.

Il est aussi le compositeur et interprète des morceaux originaux constituant la bande-son du film Les Valseuses de Bertrand Blier sorti en 1974, ainsi que de la musique de Milou en mai, film de Louis Malle de 1989.

Discographie

Albums

* Improvisations (Paris, 1956)
* Djangoly: Django Reinhardt the gypsy genius (1936 to 1940)
* Stéphane Grappelli et Django Reinhart the Gold Edition (1934 to 1937, copyright 1998)
* Stéphane Grappelli 1992 Live (1992, Verve)
* Stéphane Grappelli à Tokyo (1991, A & M records)
* Just One Of Those Things (1984, EMI Studios)
* Stéphane Grappelli Live at the Blue Note (1996, Telarc Jazz)
* Bill Coleman avec Django et Stéphane Grappelli 1936 à 1938 (reprise 1985, DRG Records)
* Fascinating Rhythm (1986, Jazz Life)
* Parisian Thoroughfare (1997, Laserlight)
* Martin Taylor Reunion (1993, Linn Records)
* The Intimate Grappelli (1988, Jazz Life)
* Jazz Masters (20+-year compilation, 1994, Verve)
* Michelle Legrand (1992, Verve)
* Oscar Peterson Skol (1979, reprise 1990 Pablo)
* Hommage à Django (1972, reprise 1976 Classic Jazz)
* Bach to the Beatles (1991, Academy Sound)
* Stéphane Grappelli Plays Jerome Kern(1987, GRP)
* How Can You Miss, with Louis Bellson and Phil Woods (1989, Rushmore)
* Young Django (1979, MPS)
* Live in San Francisco (1986, Blackhawk)
* 85 and Still Swinging (1983, Angel)
* Vintage 1981 (1981, Concord)
* Jean-Luc Ponty Violin Summit (1989, Jazz Life)
* Martin Taylor: We’ve Got The World on a String (1984, EMI)
* Stuff Smith: Violins No End (1984, Pablo)
* Sonny Lester Collection (1980, LRC)
* Stéphane Grappelli et Joe Venuti: Venupelli Blues (1979, Affinity)
* Shades of Django (1975, MPS)
* Afternoon in Paris (1971, MPS)
* Live at Carnegie Hall (1978, Signature)
* Jazz ‘Round Midnight (1989, Verve)
* Unique Piano Session Paris 1955 (1955, Jazz Anthology)
* Stéphane Grappelli and Cordes (1977, Musidisc)
* Satin Doll (1975, Vanguard)
* Manoir de mes rêves (1972, Musidisc)
* Grappelli joue George Gershwin (1984, Musidisc)
* Stéphane Grappelli (PYE)
* Stéphane Grappelli – i got rhythm! (1974 Black Lion Records) with Diz Disley, Denny Wright and Len Skeat recorded at the Queen Elizabeth Hall, London, 5th November, 1973
* Diz Disley Live at Carnegie Hall (1983, Dr Jazz)
* The Rock Peter and the Wolf (1976 RSO Records) (2007 CD Verdant Records) with Jack Lancaster, Phil Collins, Brian Eno, Gary Brooker, Gary Moore, Alvin Lee. Manfred Mann etc.

Collaborations

* Stéphane Grappelli et Claude Bolling: First Class (1992, Milan)
* Stéphane Grappelli et Gary Burton: Paris Encounter (1972, Atlantic)
* Stéphane Grappelli et Hubert Clavecin: Dansez sur vos souvenirs (Musidisc)
* Stéphane Grappelli et David Grisman Live (1981, Warner Brothers)
* Stéphane Grappelli et Barney Kessel: Remember Django (1969, Black Lion)
* Stéphane Grappelli et Barney Kessel: Limehouse Blues (1972, Black Lion)
* Stéphane Grappelli et Yo Yo Ma: Anything Goes (1989)
* Menuhin et Grappelli jouent Berlin, Kern, Porter and Rodgers & Hart (1973 to 1985, EMI)
* Stéphane Grappelli et Yehudi Menuhin: Jalousie (1975, EMI)
* Stéphane Grappelli et Helen Merrill (1986, Music Makers)
* Stéphane Grappelli et Oscar Peterson (1973, Musicdisc)
* Stéphane Grappelli et Jean-Luc Ponty: Compact Jazz (1988, MPS)
* Stéphane Grappelli et le Trio George Shearing: La Réunion (1977, MPS)
* Stéphane Grappelli et Martial Solal (1980, MPO)
* Stéphane Grappelli et Martial Solal: Olympia 1988 (1988, Atlantic)
* Stéphane Grappelli avec Marc Fosset Stephanova (Concord Jazz, 1983)
* Stéphane Grappelli et le docteur L. Subramaniam: Conversations (1992, Milestone)
* Stéphane Grappelli et Toots Thielemans: Bringing it Together (1984, Cymekob)
* Stéphane Grappelli et McCoy Tyner; One on One (1990, Milestone)
* Stéphane Grappelli et Joe Venuti: Best of Jazz Violins (1989, LRC)
* Violin Summit: Stéphane Grappelli, Stuff Smith, Svend Asmussen, Jean-Luc Ponty (1967, Polygram)
* Stéphane Grappelli et Baden Powell: La grande Réunion (1974, Accord)
* Stéphane Grapellli et Paul Simon « Paul Simon » (9) 1972 Hobo’s Blues (Columbia 1972)
* Stéphane Grappelli et Earl Hines: Stéphane Grappelli rencontre Earl Hines

Source: Wikipédia

Jake Shimabukuro, joueur de ukulélé


Jake Shimabukuro stopped by GHS Guitar Club on 2/2/07 and Jammed with guitarist Chris Burgan in front of an inspired audience.

Jake Shimabukuro, né le 3 novembre 1976 à Honolulu, Hawaii (É.-U.) est un musicien américain virtuose du ukulélé.

Style musical

Sa musique est un mélange de jazz, de rock, de musique hawaïenne, et de pop, il est souvent appelé le Jimi Hendrix du ukulélé.

Ses influences musicales revendiquées sont Eddie Van Halen (dont le légendaire solo de guitare « Eruption » a été repris par Jake), Yngwie Malmsteen, et Carlos Santana.

Anecdotes

* Sa renommée s’est trouvée amplifiée par internet, grâce à la diffusion d’une vidéo où il interprète while my guitar gently weeps (chanson de George Harrison des Beatles) au ukulélé.
* Il joue sur un ukulélé ténor.
* La marque de ukulélés Kamaka a créé une ligne d’ ukulélés de luxe portant la signature de Jake Shimabukuro.

Discographie

* Dragon 2005
* Walking Down Rainhill 2004
* Crosscurrent 2003
* Sunday Morning 2002

Un DVD appelé « Play Ukulele Loud » – qui contient, outre des interviews et des clips vidéo, une partie où il explique certaines techniques de jeu.

Source: Wikipédia

Site officiel: http://www.jakeshimabukuro.com/