saxophone

Lucky Thompson, saxophoniste

http://www.youtube.com/watch?v=k_U_QwOAl20
Anthropology Thompson Lucky 1959
Lucky Thompson the famous American early bebop tenor saxophonist is on a visit to the Blue Note Club in Paris. In December 1959 this clip was recorded with the Bud Powell trio with Kenny Clarke on drums and Pierre Michelot on bass. Also an interesting guitar solo from Jimmy Gourley.

Lucky Thompson

Eli Thompson, connu sous le nom de « Lucky » Thompson, est un saxophoniste de jazz américain né le 16 juin 1924 à Détroit, Michigan, États-Unis et décédé le 30 juillet 2005 de la maladie d’Alzheimer.

Biographie

Lucky Thompson débute au sein d’un groupe vocal avant d’intégrer, en tant que saxophoniste ténor, les Bama State Collegians puis le grand orchestre de Lionel Hampton en 1943. À New York, il se produit dans les clubs de la 42nd Street aux côtés de Billy Eckstine, Erroll Garner et Slam Stewart avant de rejoindre les rangs du big-band de Count Basie (1944-1945). Il quitte l’orchestre pour se fixer en Californie, où il dirige diverses formations, généralement en accompagnement de vocalistes, et enregistre et se produit au sein du groupe de Dizzy Gillespie lors de la première visite du trompettiste sur la Côte Ouest.

Jusqu’en 1956, il se partage entre la direction de ses propres formations et des séjours, généralement assez courts, auprès de différents leaders : Boyd Raeburn, Count Basie à nouveau (1951), Thelonious Monk, le temps d’un enregistrement… De 1956 à 1962, il séjourne à Paris et enregistre tant avec les musiciens locaux (Martial Solal, Guy Lafitte) qu’avec les américains de passage (Bud Powell). À son retour aux États-Unis en 1962, il adopte le saxophone soprano. Il enregistrera de nombreux albums jusqu’en 1972, année où il semble abandonner la pratique musicale pour enseigner à la Dartmouth University avant de disparaître totalement.

En 1982, le magazine américain Cadence retrouve sa trace, en Caroline du Sud. Lucky Thompson disparaît ensuite à nouveau et, selon Johnny Griffin et Kenny Washington, est sans domicile fixe à Seattle, Washington, au début des années 1990. Au cours des années qui suivront, son décès est annoncé à plusieurs reprises.

Style

Lucky Thompson est un instrumentiste singulier et inclassable. S’il appartient clairement à l’école de Don Byas, son jeu présente un modernisme intermédiaire qui tranche tant avec le swing de l’orchestre de Count Basie qu’avec le bop de Dizzy Gillespie et désoriente les critiques de l’époque qui, ne parvenant pas à le classer dans une catégorie définie, ont tendance à le sous-estimer.

Au soprano, il a su se détacher tant de l’influence de Sidney Bechet que de celle de John Coltrane, et son jeu sur cet instrument n’est pas sans évoquer celui de Lester Young à la clarinette. Au tout début des années 1980, son vieil ami Milt Jackson lui propose de produire un album dont il serait le producteur, lui laissant la maîtrise totale de l’enregistrement, depuis le choix des musiciens jusqu’à la post-production, mais Lucky Thompson refuse, usé et dégoûté par le music-business.

Source: Wikipédia

Julian « Cannonball » Adderley, saxophoniste

http://www.youtube.com/watch?v=7v-GZrUIhag
Julian « Cannonball » Adderley Sextet – Jessica’s Birthday

SWR Studios, Baden-Baden, Germany, 1963 Julian « Cannonball » Adderley – Alto Saxophone Nat Adderley – Cornet Juseef Lateef – Tenor Saxophone, Oboe, Flute Joe Zawinul – Piano Sam Jones – Bass Louis
sur la télé allemande

Julian Cannonball Adderley

Nom     Julian Edwin « Cannonball » Adderley
Naissance     le 15 septembre 1928
Pays d’origine     à Tampa Floride États-Unis
Décès     le 8 août 1975
à Gary, Indiana États-Unis
Genre(s)     Jazz, Hardbop, Soul jazz

Julian Edwin « Cannonball » Adderley (né à Tampa (Floride) le 15 septembre 1928, mort à Gary (Indiana) le 8 août 1975) est un saxophoniste alto, et, accessoirement soprano de jazz.

Tout d’abord parkérien, mais sans la dimension tragique de ce dernier, il s’inspire aussi d’artistes plus classiques (Benny Carter, Johnny Hodges), en une combinaison originale, empreinte de lyrisme, de sens de la mélodie et du rythme, de légèreté et de rondeur. Sa sonorité riche et chaleureuse et sa volonté de conserver au jazz ses racines populaires, firent de lui l’un des chefs de file du soul jazz des années 1960.

Biographie

En 1944-48, il étudie au lycée de Tallahassee où il apprend la flûte, la trompette, la clarinette et l’alto, puis dirige un orchestre scolaire à Fort Lauderdale (1948-50). C’est là que son appétit lui vaut le surnom de « Cannibal » déformé plus tard en « Cannonball ». À l’armée, il rencontre Junior Mance et Curtis Fuller et dirige 36th Army Band, puis un combo à Washington, et enfin l’orchestre militaire de Fort Knox en 1952-53.

Confortablement installé en Floride où il enseigne la musique et dirige plusieurs formations locales, Cannonball Adderley n’émerge qu’en 1955. À l’occasion d’un voyage à New York, sa prestation ponctuelle au sein du groupe d’Oscar Pettiford au Café Bohémia le fait remarquer du label Savoy qui le signe et lui suggère de venir vivre à New York. On commence alors à l’entendre dans les jam sessions et dans des enregistrements de Kenny Clarke et de son frère Nat Adderley, puis, rapidement, sous son propre nom. Il est alors considéré comme « le nouveau Charlie Parker ». À l’instar de celui-ci, il fonde avec son frère Nat Adderley, trompettiste, pour EmArcy, un quintet, puis un sextet en 1959.

En 1958, il devient l’alto attitré de Miles Davis, pour enregistrer quelques uns des disques les plus importants de l’histoire du jazz moderne (Milestones, Porgy and Bess (1958), Kind of Blue (1959). Il invite à son tour Miles Davis sur son album Somethin’ Else sorti en 1958, ce sera l’une des rares apparitions phonographiques de Miles en tant que sideman ! Pendant 2 ans, il enregistrera avec John Coltrane, Gil Evans, Machito, Louis Smith, Paul Chambers, Kenny Dorham, Philly Joe Jones.

À partir de 1960, il enregistre presque exclusivement sous son propre nom et sous celui de son frère, en compagnie des pianistes Bobby Timmons, Hank Jones, Bill Evans, Wynton Kelly, Victor Feldman, des bassistes Paul Chambers et Sam Jones, des batteurs Albert Heath et Louis Hayes. Des « tubes » : « This here », « Sermonette’n Jive samba », « Mercy, mercy, mercy », produits notamment par David Axelrod, assurent le succès de ce groupe de hard bop.

À partir de 1968, Adderley, avec les pianistes Joe Zawinul et George Duke, verse dans une musique « bluesy » imprégnée de « funk » ou de « soul », prémices de toutes les évolutions commerciales du jazz.

Il meurt des complications cérébrales de son diabète.

Discographie personnelle

* The Adderleys: Cannonball & Nat (1955) (Savoy)
* Presenting Cannonball Adderley (1955) (Savoy)
* Julian Cannonball Adderley (1955) (EmArcy)
* In the land of hi-fi (1956) (EmArcy)
* Sophisticated swing: The Emarcy small group sessions (1956) (EmArcy)
* Cannonball en route (1957) (Mercury)
* Cannonball’s sharpshooters (1958) (EmArcy)
* Somethin’ Else (1958) (Blue Note)
* Alabama concerto (1958) (Original Jazz Classics)
* Jump for joy (1958) (EmArcy)
* Things are getting better (1958) (Riverside/OJC)
* Cannonball Adderley Quintet in Chicago (1959) (Verve) = Cannonball and Coltrane (Mercury)
* Cannonball Adderley collection, vol. 6: Cannonball takes charge (1959) (Landmark)
* The Cannonball Adderley quintet in San Francisco [live] (1959) (Riverside/OJC)
* Cannonball Adderley collection, vol. 1: Them dirty blues (1960) (Landmark)
* Cannonball Adderley collection, vol. 4: The poll winners (1960) (Landmark)
* Cannonball Adderley collection, vol. 5: The quintet at the Lighthouse [live] (1960) (Landmark)
* Them dirty blues (1960) (Capitol)
* Know what I mean? [ojc/riverside/milestone] (1961) (Original Jazz Classics)
* African waltz (1961) (Riverside/OJC)
* The quintet plus (1961) (Original Jazz Classics)
* Nancy wilson/Cannonball Adderley (1961) (Capitol)
* In new york [live] (1962) (Riverside/OJC)
* The lush side of Cannonball (1962) (Mercury)
* The Adderley brothers in new orleans (1962) (Milestone)
* Cannonball Adderley sextet live in belgium (1962) (Riverside)

* Cannonball Adderley collection, vol. 7: Cannonball in Europe (1962) (Landmark)
* Cannonball Adderley collection, vol. 3: Jazz workshop revisited [live] (1962) (Landmark)
* Cannonball Adderley collection, vol. 2: Bossa… (1962) (Landmark)
* Cannonball’s bossa nova (1962) (Riverside)
* Two for the blues (1963) (VSP)
* Live in japan (1963) (Riverside)
* Nippon soul [live] (1963) (Riverside/OJC)
* Jazz workshop revisited (1963) (Blue Note)
* Cannonball Adderley – live! (1964) (Capitol)
* Live with the new exciting voice of ernie andrews (1964) (Capitol)
* Fiddler on the roof (1964) (Capitol)
* Live session! (1964) (Capitol)
* Domination (1965) (Capitol)
* Great love themes (1966) (Capitol)
* Cannonball in Japan [live] (1966) (Capitol)
* Mercy, mercy, mercy! Live at ‘The Club’ (1966) (EMI)
* 74 miles away/walk tall (1967) (Capitol)
* Why am I treated so bad? (1967) (Capitol)
* Accent on Africa (1968) (Capitol)
* Country preacher « live » at operation breadbasket (1969) (Capitol)
* The happy people (1970) (Capitol)
* The price you got to pay to be free [live] (1970) (Capitol)
* Experience in E, tensity, dialogues (1970) (Capitol)
* In person [live] (1970) (Capitol)
* Black messiah [live] (1972) (Capitol)
* Music you all [live] (1972) (Capitol)
* Inside straight (1973) (Original Jazz Classics)
* Cannonball Adderley & friends (1973) (Capitol)
* Pyramid (1974) (Fantasy)
* Phenix (1975) (Fantasy)
* Lovers (1975) (Fantasy)
* Big man (1975) (Fantasy)

Source: Wikipédia

Curtis Fuller, tromboniste


Curtis Fuller in Kiev

Curtis DuBois Fuller (né le 15 décembre 1934 à Détroit) est un tromboniste de jazz.

Les parents de Fuller étaient jamaïcains et sont morts lorsqu’il était jeune. Il a donc été éduqué dans un ophelinat. A Detroit il était le camarade d’école de Paul Chambers et Donald Byrd. Il y a aussi connu Tommy Flanagan, Thad Jones et Milt Jackson.

Aprs son service militaire entre 1953 et 1955 (alors qu’il jouait dans un orchestre avec Chambers et les frères Cannonball et Nat Adderley), Fuller a rejoint le quintet de Yusef Lateef, également originaire de Detroit. En 1957 le quintet s’est rendu à New York et Fuller a enregistré ses premières sessions comme leader pour Prestige Records.

Alfred Lion de Blue Note Records l’a entendu jouer avec Miles Davis à la fin des années 1950 et lui a permis d’enregistrer comme sideman sur des sessions dirigées par Sonny Clark et John Coltrane; sa participation à l’album Blue Train est une référence. Fuller est particulièrement fier d’être le seul tromboniste à avoir enregistré aussi bien avec Coltrane, Powell et Smith, en août et septembre 1957.

Source Wikipédia

Bobo Stenson, pianiste


Martin Speake’s « Change of Heart » with Bobo Stenson on piano, Steve Watts on double bass, Jeff Williams on drums and Martin Speake on alto saxophone.
Filmed at the Warwick Arts Centre on 15th February 2009 by Helen Petts.

Bo Gustav Stenson (plus connu comme Bobo Stenson) est un pianiste de jazz suédois né à Västerås en 1944.

Stenson se fait remarquer dès 1963, après avoir fait ses débuts à Västerås, lorsqu’il commence à accompagner les nombreux américains de passage à Stockholm, en particulier Sonny Rollins, Stan Getz et Gary Burton. Il collabore aussi étroitement avec Don Cherry dès l’installation du trompettiste en Scandinavie.

Les années 1970 ont été une période fructueuse pour Bobo Stenson. Il joue dans une multitude de formations, en particulier Rena Rama, avec Palle Danielsson, et un trio très populaire avec Arild Andersen et Jon Christensen, parfois agrémenté de Jan Garbarek.

En 1988, il se joint au Quartet de Charles Lloyd et en 1996 au sextet de Tomasz Stanko.

Il dirige actuellement son propre trio avec le contrebassiste Anders Jormin et le batteur Jon Christensen. Pour son disque Goodbye de 2005, il invite le batteur Paul Motian à venir remplacer Jon Christensen.

Bobo Stenson a reçu en 2001 le Prix Bobby Jaspar de l’Académie du Jazz, qui récompense l’ensemble de l’œuvre d’un soliste européen.

Source: Wikipedia

Sophe Alour, saxophoniste

http://www.dailymotion.com/video/x79fw8_rhoda-scott-2parissunset-october-20_music
Performance of Rhoda Scott with her quartet at the JVC festival in Paris in October, 13th 2008 at the Sunset.
Great infectious groove … back in the days…!
Rhoda Scott – organ Hammond, Sophie Alour – saxophone ; Lisa Cat-Berro – saxophone ; Julie Saury – drums

Sophie Alour est une saxophoniste ténor de jazz française née en 1974.

Sophie apprend la clarinette à 13 ans à Quimper mais elle n’apprend le saxophone qu’à 19 ans, essentiellement en autodidacte et dans les écoles CIM et IACP.

Elle joue depuis 1995 puis intègre le big band de Christophe Dal Sasso.

En 2000, elle fonde deux groupes : un sextet avec Stéphane Belmondo, qui tourne dans les clubs parisiens, puis le big band Le Vintage Orchestra avec Dominique Mandin, Eric Poirier et Fabien Mary.

Son quartet avec Rhoda Scott, Airelle Besson et Julie Saury a donné son premier concert sur la grande scène de Jazz à Vienne en 2004. En 2004 toujours, elle joue dans le big-band de Wynton Marsalis.

Le quotidien Le Monde écrivait, sous la plume de Sylvain Siclier en juin 2002:

« On parle beaucoup d’une jeune pousse, Sophie Alour, saxophoniste. Elle a un son, se méfie d’être dans la reproduction des maîtres, un goût de recherche. Ce n’est pas donné à tout le monde. »

En 2007, Sophie Alour remporte un Django d’Or en tant que nouveau talent[1].

Discographie

* 2005 Insulaire
* 2007 Uncaged
Source: Wikipédia

Stefano Di Battista, saxophoniste


Stefano Di Battista a Elba Jazz 2008

Stefano Di Battista, est un saxophoniste alto et soprano italien né le 14 février 1969 à Rome.

Biographie

C’est vers l’âge de 13 ans que Stefano Di Battista apprend le saxophone dans une Banda, petite formation de quartier composée en majorité d’enfants. La découverte d’ Art Pepper dont il s’éprend du son, et sa rencontre avec l’altiste Massimo Urbani qui deviendra son mentor, le font s’orienter vers le Jazz. Il s’inscrit tout de même au conservatoire où il parfait sa technique, étudie le répertoire classique du saxophone et décroche un premier prix à l’âge de 21 ans.

En 1992 il joue par hasard au festival de jazz de Calvi où il rencontre des musiciens français dont Jean-Pierre Como qui l’invite à jouer à Paris. C’est le déclic pour Stefano. Il multiplie alors les auditions afin d’obtenir des engagements sur Paris et obtient deux dates au Sunset. C’est lors de ces concerts qu’Aldo Romano et Laurent Cugny le repèrent. Il s’installe à Paris et participe ainsi aux projets d’Aldo Romano (Prosodie et Intervista) tout en assurant une place de soliste au sein de l’ONJ que dirige alors Laurent Cugny. Tout en multipliant les rencontres (avec Michel Petrucciani notamment qui l’intègre dans son sextet), il crée son propre quintette composé de Flavio Boltro à la trompette, d’Eric Legnini, son pianiste depuis trois ans, de Benjamin Henocq à la batterie et de Rosario Bonaccorso à la contrebasse. De cette collaboration naissent les albums Volare et A Prima Vista.

En 2000, il invite Elvin Jones à enregistrer sur l’album Stefano Di Battista. Il accompagne ensuite le grand batteur dans ses tournées mondiales avec le Elvin Jones Jazz Machine.

L’année 2002 est particulièrement marquée par sa collaboration avec le saxophoniste américain Michael Brecker récemment disparu. Il sort Round about Roma avec son quartet habituel (Legnini, Bonaccorso, Ceccarelli) et en compagnie d’un orchestre symphonique de 43 éléments.

En 2004, il enregistre Parker’s mood album hommage à Charlie Parker, un demi siècle après sa disparition.

Style

Fortement inspiré par les grands classiques des 50’s et 60’s du label Blue Note, ce saxophoniste italien, au son chaleureux, développe un style néo hard bop. Ce style résulte d’un engagement total, fusion de fougue et de générosité. Stefano met toute son énergie faite autant de vitesse et de virtuosité que d’innovation au service d’une émotion propre à ses racines, à sa terre natale.

Discographie

* Volare (1997)
* A Prima Vista (1998)
* Stefano Di Battista (2000)
* Round About Roma (2002)
* Parker’s Mood (2004)
* Trouble Shootin’ (2007)

Source: Wikipédia

Joshua Redman, saxophoniste


Joshua Redman live in Montreux Jazz Festival 1997
Joshua Redman (Tenor Saxophone), Peter Bernstein (Eelectric Guitar), Brian Blade (Drums),
Christopher Thomas (Acoustic Bass), Peter Martin (Acoustic Piano)

Joshua Redman, est un Saxophoniste américain né le 1er février 1969 à Berkeley, Californie. Fils du saxophoniste Dewey Redman.

Il sort diplômé de l’université d’Harvard en 1991, et remporte la Thelonious Monk International Jazz Saxophone Competition la même année et commence à se consacrer à sa carrière musicale.

Sur l’album Momentum enregistré sur le label Nonesuch Records, Joshua Redman est entouré de Sam Yahel, Brian Blade, Jeff Ballard, le noyau de l’Elastic Band, mais aussi d’invités tels que Me’shell Ndegeocello, Kurt Rosenwinkel, Nicholas Payton. Comme à son habitude, l’album est composé majoritairement d’originaux (8 titres) mais aussi des reprises, qui sont souvent des clins d’œil à ses goûts musicaux hors jazz, (Led Zeppelin, Stevie Wonder, James Brown…). Goûts dont Joshua Redman reconnaît clairement l’influence sur sa musique et en particulier l’influence du funk.

Ses albums Momentum (joué avec son electric band en 2005) ainsi que back east (joué avec son quartet) ont été nominés au Grammy award respectivement dans la catégorie « best contemporary jazz album » en 2005 et dans la catégorie « best jazz instrumental album individual or group » en 2007.

Discographie

* Joshua Redman (1993)
* Wish (1993)
* MoodSwing (1994)
* Joshua Redman Captured live (1994)
* Spirit of the Moment Live at Village Vanguard (1995)
* Freedom in the Groove (1996)
* Timeless Tales (for Changing Times) (1998)
* Beyond (2000)
* Passage of Time (2001)
* Elastic (2002)
* Momentum (2005)
* Back East (2007)
* Compass (2009)

Source: Wikipédia

Dexter Gordon, saxophoniste


Documentary footage of Dexter Gordon in Copenhagen, Denmark, 1971. Copyright © Teit Jorgensen TJ Film Aps

Biographie

Dexter Gordon (Los Angeles 27 février 1923 – Philadelphie 25 avril 1990) était un saxophoniste ténor de jazz américain.

Dexter Gordon est vu comme le premier saxophoniste Hard Bop d’importance. Il démarra sa carrière en 1940 dans le groupe de Lionel Hampton, avec lequel il jouera jusqu’en 1942. Après quelques concerts avec le Fletcher Henderson Orchestra et Louis Armstrong, il part s’installer en 1944 à New York et joue là-bas dans le Big Band de Billy Eckstine.
A l’âge de 20 ans, il enregistre pour la première fois sous son propre nom (« I’ve Found A New Baby » / « Sweet Lorraine » pour Mercury), accompagné de Sweets Edison et de Nat Cole.

Discographie

Enregistrements :

* Blowin’ the blues away (avec Billy Eckstine, 1944)
* Blue’n boogie (avec Dizzy Gillespie, 1945)
* The Chase (1947 et 1952)
* Soul Sister (1961)
* Night in Tunisia (1963)
* A Day in Copenhagen (1969)
* Parisian Concert – Futura Ger 41 (1973)
* Homecoming (1976)
* Lullaby For A Monster (1976)
* Ballads (1978)
* American Classic (1982)

Filmographie

* L’Éveil (1990)
* Autour de minuit de Bertrand Tavernier (1986)

Source: Wikipedia

Tineke Postma, saxophoniste

http://www.youtube.com/watch?v=zFWrmSMrUt0
Tineke Postma – Summersong. Extract from the DVD « Live in Amsterdam », recorded at the Bimhuis on August 29, 2005 – composed by Tineke Postma featuring Rob van Bavel (p) – Martijn van Iterson (g) – Jeroen Vierdag (cb) – Marcel Serierse (dr)
TINEKE POSTMA is a jazz saxophonist from the Netherlands.
She tours with her quartet around the world and released three cd’s. She will record her new cd in February ’09 in New York with Geri Allen, Scott Colley and Terri Lyne Carrington.

Tineke was born in 31-08-1978. She plays alto, soprano and tenorsax. Tineke graduated in 2003 as a Master of Music at the Conservatory of Amsterdam and studied for one year Masters at the Manhatten School of Music. Among others, she played with Dianne Reeves, Nancy Wilson, James Genus, Paul Bollenback, Matt Garrisson, Geri Allen, Esperanza Spalding. She also recorded as a special soloist with the Metropole Orchestra. As a leader she performed four times at the North Sea Jazz Festival, several times at the Concertgebouw in Amsterdam, Java Jazz Festival, Yokohama Jazz Festival, International Glasgow Festival, 12 Points Festival (Ireland), Smalls and the Jazzstandard in New York.

As a sideman, she has been playing at a large number of international jazzfestivals such as the Red Sea Jazz Festival (Terri Lyne Carrington Group) and Carnegie Hall in New York. Tineke released three solo albums, »First Avenue » (2003), « For the Rhythm feat. Terri Lyne Carrington » (2005) and « A Journey that Matters feat. Terri Lyne Carrington » (2007) and one DVD  » Live in Amsterdam ».

Tineke recorded as a sideman for Terri Lyne Carrington’s « More to say Real Life Story: Nextgen, Whispers the Wind (Chris Mc Nulty 2006), Evidence feat. Mike Manieri & Bob Malach (Edoardo Righini 2003). and others.

Tineke was awarded with Langs de Lijn Award (2007), Sisters in Jazz All Star Award (2003),Midem/Victoires du Jazz: International Révelation of the Year (Victoires du Jazz 2006) Tineke studied with Ferdinand Povel, Jasper Blom, Dick Oatts, Chris Potter and David Liebman.

Source: Youtube channel

Site officiel: http://www.tinekepostma.com/

Lou Donaldson, saxophoniste

http://www.youtube.com/watch?v=lNnpk50vfhU

Laura Lou Donaldson, Horace Parlan, Wayne Dockery, John Riley en 1994 à Genève

Biographie

Lou Donaldson (né à Badin en Caroline du Nord le 1er novembre 1926 est un saxophoniste alto américain de jazz.

Il a notamment accompagné Art Blakey and the Jazz Messengers lors du concert culte donné au Birdland en 1954 pour le label Blue Note.

Discograhie partielle

* Bags’s groove (avec Milt Jackson), 1952.
* Blues Walk 1958.
* Funky Mama, 1962.
* Alligator Boogaloo, 1967.
* Hot Dog, 1969.
* Gravy train 1961
* Lou takes off 1957
* Midnight Creeper 1968 (avec G. Benson)
* Good gracious 1963 (avec G.Green)
* Mr shing-a-ling 1967 (avec Blue Mitchell)
* Here ’tis 1961 (avec G. Green)
* The natural soul 1962 (avec G. Green)
* Say it loud! 1969
* Everything I play is funky 1969 (avec Blue Mitchell)
* Lush life 1967 (avec Wayne Shorter, McCoy Tyner, Ron Carter, Freddie Hubbard…)
* Musty Rusty 1965 (avec Billy Gardner)
* Fried Buzzard 1965 (avec Bill Hardman)